Ronald Sowizrol a intenté l’action collective nationale en dommages et intérêts contre The Coca-Cola Company devant le tribunal de district américain du district nord de l’Illinois jeudi dernier, le 18 mars. Il s’agit de la dernière en date d’une série d’actions copiées attaquant le géant des sodas qui a débuté en août 2013.
Coke utilise l’acide phosphorique dans son produit phare comme acidulant pour réduire la croissance des micro-organismes et ajouter de l’acidité.
« Face à des preuves claires qu’elle perdait des parts de marché parce que les consommateurs préféraient de plus en plus des boissons sans arômes artificiels et sans conservateurs chimiques », Coke a répondu en fournissant aux consommateurs ce qu’ils voulaient, une boisson naturelle et saine, a déclaré Sowizrol.
Coke s’attaque à des « procès sans fondement » qui n’induisent personne en erreur
Le seul problème du point de vue de Sowizrol, ou de ses avocats ? Coke l’a fait en trompant prétendument les consommateurs en leur faisant croire que le Coca-Cola était naturel et sain alors qu’il contient en réalité des arômes artificiels et des conservateurs chimiques.
Coke dément vigoureusement ces allégations. Susan Stribling, de l’équipe des affaires publiques et des communications de l’entreprise en Amérique du Nord, nous a envoyé cette déclaration aujourd’hui : « Depuis les premières portions en 1886, Coca-Cola n’a eu aucun arôme artificiel ou conservateur ajouté. Nos boissons sont correctement étiquetées, conformément à toutes les réglementations gouvernementales applicables.
« Ces poursuites sans fondement sont un jeu d’avocats de recours collectif pour faire du profit sous le prétexte de protéger les gens. Personne n’a été induit en erreur. Il s’agit simplement d’une copie d’une plainte déposée il y a plusieurs mois, que nous avons demandé de rejeter », a-t-elle ajouté.
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